"À la fin tu es las de ce monde ancien"
Et c'est peut-être pour cela qu'Alcools nous marque autant, nous a accompagné de ces musiques à syncope étrange, et pourtant tout ancrées dans nos perceptions les plus fines.
Une borne dans l'élan moderne de la poésie, peut-être à partir de cette rature dans le manuscrit conservé à la bibliothèque nationale, ce "soleil cou coupé" qui surgit pour conclure, après le grand défilé des villes d'Europe.
Oeuvre qui se débarrasse en cours de route de toute ponctuation pour nous arriver avec plus de lumière.
Comment ne pas en disposer à sa guise sur nos appareils numériques ?